ont inondé ma bouche.
Et moi, qu'ai-je à t'offrir ?
Je forme
Du bout de ma langue
un berlingot d'ambre
une pointe de réglisse.
Refuse-moi encore si je ne suffis.
Et
glisse dans la bouche de ta bien-aimée
ce sucre que j'ai muri...
Alors
ce me sera encore
écouter le miel de ta poitrine.
sd réconfortée
ps : il s'agit d'un sonnet irrégulier, d'accord. C'est-à-dire que, incapable, pour l'instant, d'en écrire un régulier, j'ai largement triché, me contentant de découper. C'est, si j'ai bien compris, la liberté moderne du vers : )
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire